NOM : Karlson
PRÉNOM : Athénaïs Lolita
AGE : 20 ans
NATIONALITÉ : Anglaise
GROUPE AUQUEL J'APPARTIENS : Middy

Capricieuse - Maladroite - Franche - Impulsive - Pleine de vie - Généreuse - Souriante - Joueuse - Espiègle - Mutine -

8 mars 1993, accessoirement journée de la femme, mais ce jour là ce fut une petite blondinette qui vint pointer le bout de son nez. Une mère, jeune âgée de 17 ans, totalement effrayée qui se retrouvait alors toute seule entourée seulement par une infirmière, une sage-femme et un obstétricien. Autant dire que ce qui devait être le plus beau jour de sa vie était en réalité le jour le plus effrayant. La petite tête blonde ? C’est moi ! Athénaïs ! En plus de ça, je me suis pointée avec quatre semaines d’avance, alors autant dire que la surprise n’était pas au rendez vous. Ajoutons à cela le fait que ma mère avait fait un déni de grossesse et que ce qu’elle pensait être une simple gastro a tourné en quelque chose d’un peu plus désastreux. Je suis son désastre, du moins c’est comme ça qu’elle m’a toujours appelé lorsqu’elle était folle de rage après moi. Il n’empêche que ma mère ça reste la personne la plus importante pour moi et que je suis aussi la plus importante pour elle. De toute façon, quand tout le monde vous a rejeté au bout d’un moment, on ne peut pas faire autrement que d’aimer l’objet de votre rejet…
Je n’ai jamais connu mon père et je ne suis même pas sure que ma mère savait qui c’était. Je ne veux pas dire par là que c’était une trainée, mais vous avez à 17 ans, on s’amuse, on prend la vie comme elle vient sans se soucier des conséquences. Je pense que ça doit venir de lui si je suis si spéciale. C’est la seule façon d’expliquer tout cela.

Je devais avoir à peu près 10 ans quand d’un coup un truc bizarre est arrivé. C’était la nuit, je dormais, ou du moins je crois que je dormais et d’un coup mon rêve est devenu réel, voir même bizarre. En réalité, ce n’était pas mon rêve, c’était celui du petit garçon dont j’étais tombé amoureuse, mais ça je l’ai réalité que quelques mois plus tard, quand en discutant dans la cours de récréation mes petits camarades me racontaient leur rêve. J’y étais dedans ! Je reconnaissais les personnages qu’ils décrivaient, ce qu’ils avaient pu ressentir. C’est à ce moment là que j’ai compris que j’avais quelque chose de spécial. J’ai bien tenté d’en parler à ma mère, mais à jongler entre son boulot de serveuse et ses études du soir, elle avait trop de choses à régler. Je n’avais personne à qui parler et j’ai décidé de m’enfermer dans ce monde là, dans ces songes. Je me suis rendue compte qu’en plus de pouvoir pénétrer dans les rêves des autres je pouvais y interférer, leur parler, leur faire voir ce que j’imaginais. Le monde onirique est vraiment fascinant et l’imagination des personnes est sans aucunes limites.

Ce qui me paraissait au début bizarre faisait à présent intégralement parti de ma vie et je ne pouvais vivre sans. Ma mère ne parlait que très peu, beaucoup trop épuisé par son travail et ses études, alors pénétrer dans ses rêves était un moyen pour moi de pouvoir communiquer avec elle. Je voyais aussi ce à quoi elle aspirait et dès que je voyais un cauchemar se profiler, je faisais tout mon possible pour qu’il se transforme en quelque chose de magnifique. Elle était bien assez soucieuse comme ça sans qu’en plus son sommeil soit perturbé ! Mais à trop jouer, il arrive parfois que les choses se gâtent… Je ne contrôlais pas ce pouvoir là, et un jour, j’ai bien faillit y rester. Ce que je ne savais pas, c’était que ce qui me touchait dans les rêves, me touchaient également dans la vie réelle… Je devais faire plus attention, et surtout ne pas sombrer, ne pas confondre les chimères et la réalité, ce qui au fond était plutôt tentant…

Ce qui s’avéra être un second don apparut alors que j’étais adolescente. J’avais 16 ans et avec ma mère on venait une fois de plus de déménager. Vous savez, au début c’est plutôt pénible d’être toujours considérée comme la nouvelle, de devoir repartir à zéro à chaque fois. Mais au final, on s’y fait. On lie des attaches avec les autres, mais on sait pertinemment que ça ne va pas durer plus de quelques mois. Quoi que, notre record aura été de deux ans, à Londres. Ma mère était tombée raide dingue amoureuse d’un jardinier, ils comptaient même se marier. Le seul truc négatif dans tout ça c’est qu’il aimait la bouteille bien plus que ma mère, je vous raconte même pas ses rêves ! J’ose même pas y penser tellement ils me donnent la chair de poule, de toute façon maintenant c’est de l’histoire passé. En attendant je m’éloigne du sujet principal… Mon second pouvoir. Il m’est arrivé tout a fait par hasard, enfin, pas vraiment non plus. Ce jour là j’étais folle de rage, une colère que je n’avais jamais eu auparavant, c’était la première fois que je me sentais ainsi, à la limite de la folie si vous voulez mon avis. J’étais comme incontrôlable, j’avais la sensation de ne plus être dans mon corps, d’être juste à côté et d’observer cette personne en train de tenter de se contrôler du mieux qu’elle le pouvait mais en vain… Les filles qui m’avaient prises en « otages » pour tenter de m’intimider partirent en courant lorsque d’un coup, ma main se leva pour lancer un projectile… et pas n’importe lequel, du feu, une boule de feu !
Ce fut lorsqu’elle sortie de ma main et que j’entendis les cris autour de moi que je retrouvais mes esprits. J’avais la sensation que je rêvais, que je m’étais encore endormie au pied d’un arbre et que je vagabondais auprès de Morphée, mais non, tout ceci était réel. Penaude je rentrais chez moi, et ce fut là que je le vis pour la première fois. L’homme était assis avec ma mère dans le salon et ce fut la première fois que je me sentais totalement à l’aise avec quelqu’un, que je n’avais pas la sensation d’être un monstre, qu’enfin on me comprenait. Jamais ma mère n’avait parlé de ma particularité devant moi, mais elle savait, elle savait sans vraiment vouloir en apprendre plus et lorsque cet homme vint lui dire que j’étais spéciale, elle se sentie elle aussi rassurée. Non je n’étais pas un monstre et oui j’étais normale. Cet homme etait ce qu'ils appelaient un detecteur, il m'expliqua qu'il existait d'autre personnes comme moi et qu'en Irlande il y avait un institut permettant aux mutants d'apprendre à controler leur don. Mutant, c'etait la première fois qu'on mettait un mot sur ce que j'etais. Le choix etait vite fait, si un jour je voulais parvenir à controler le feu qui était en moi, je n'avais pas d'autres choix que d'y aller. Quitter ma mère allait être difficile, mais il le fallait, et bien qu'elle fusse réticente au début, elle comprenait.

Le reste, et bien il se passe ici, à Dublin, dans cet institut où je suis depuis désormais 4 ans. Il y a d’autres personnes comme moi, je ne suis plus seule et je tente avec divers cours de contrôler mes pouvoirs, ou plutôt ce qu’ils appellent la pyrokinésie ou le contrôle du feu. Ce don est directement lié avec mes émotions et il m’est très difficile de pouvoir le contrôler, et pourtant, si je veux pouvoir un jour recommencé à me mêler aux autres, il va bien falloir que j’y arrive, que j’éteigne toute cette colère enfoui au fond de moi.

Contrôle des rêves : Ce pouvoir permet à Athénaïs de pouvoir entrer dans le rêve de la personne désirée. Au début, elle ne parvenait pas à choisir dans quel rêve elle allait atterrir, mais aujourd'hui, elle y parvient. Ce pouvoir lui permet ainsi de voir ce que les autres rêvent mais aussi et depuis peut d'y interférer. Ce pouvoir est contrôlé à 80%

Pyrokinésie : Ce pouvoir est directement lié aux émotions d'Athénaïs ce qui le rend difficile à contrôler. Il surgit lorsqu'elle est en colère et la fait entrer dans une sorte de "transe". Elle ne contrôle pas ce pouvoir, ce qui peut la rendre dangereuse. Pour le moment, elle parvient à jeter des boules de feu, mais ce n'est jamais contrôlé. Pour contrôler ce pouvoir, il lui faudra contrôler ses émotions, sa colère. Pour le moment, elle le contrôle à 30 %

PSEUDO : Absinthe
AGE :
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? : Je viens d'y tomber dessus par tous les hasard, cherchant un forum pour me remettre à RP. Et là, làààààààààààààà stupéfaction en voyant "Blackstone Faculty"... J'étais Opale Karlson à l'époque pour la petite histoire
AS-TU DEJA UN COMPTE SUR LE FORUM ? : Nop
AVATAR :

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CANDICE ACCOLA ❧ Athénaïs L. Karlson