♣ NOM : Cebelis
♣ PRÉNOM : Lilija
♣ AGE : 24 ans
♣ NATIONALITÉ : Lituanie
♣ GROUPE AUQUEL J'APPARTIENS : Fresh

Loyale et fidèle, elle tient toujours parole et ne laisse pas tomber quiconque est dans le besoin de sa présence. Elle a aussi un sentiment d'appartenance assez élevé ce qui la pousse à apprécier ceux qu'elle croise à moins qu'ils n'aient vraiment pas fait bonne impression. Elle est aussi très protectrice envers ses amis ou les plus faibles. Elle n'hésitera pas à hausser le ton ou à frapper si c'est nécessaire. Elle est aussi franche et directe sur ce qu'elle pense, mais elle arrive à se contenir et à juger du moment pour le dire.

La jalousie est probablement son plus grand défaut. Elle fera la moue ou quittera carrément un lieu lorsqu'elle juge qu'une injustice affectionnée est montrée. Elle devient rapidement de mauvaise humeur lorsqu'elle n'a pas ce qu'elle désire. Cependant, ces demandes se font rares, mais lorsqu'elles se font de vive voix, il vaut mieux lui dire oui. Elle s'attache aux gens rapidement alors lorsqu'on montre de l'ignorance à son égard quand, par exemple, elle a passé du bon temps avec quelqu'un, elle le prendra à coeur et ira sa lamenter comme une fillette. Son manque de maturité est aussi un défaut, mais cela pourra changer avec le temps. Elle est aussi arachnophobe et déteste les bestioles comme les scorpions.

La porte de mon appartement se défonça. J'avais mes écouteurs sur mes oreilles, alors comment pouvais-je savoir qu'on frappait? Deux policiers bien armés pénétrèrent et me pointèrent de leur arme à feu directement sur le visage et me crièrent:

«Vous êtes en état d'arrestation.»

Quoi? Qu'est-ce que j'avais fait? Ils me dictèrent mon droit de garder le silence ou tout ce que j'allais dire allait être tenu contre moi. Je ravalai ma salive, me retenais de dire deux cents conneries et les laissai me transporter jusqu'au poste où on m'enferma comme un chien. Les bras à travers les barreaux, j'attendais qu'on vienne me dire la raison de cette arrestation. Je ne comprenais rien, mais je gardais mon calme.

Un inspecteur en bel habit demanda à ce qu.on m'ouvre pour m'interroger. Il en avait mis du temps! Nous fûmes mis dans une pièce close où ce fameux miroir format géant était la seule décoration de la pièce. Menottes au poignet, je passais mon temps à soupirer et à dévisager le type qui faisait que son travail. Il me montra les photos de ma tante. Elle était décédée à l'hôpital peu après mon départ et je ne le savais même pas. On m'accusait de l'avoir empoisonnée parce que j'étais la dernière personne à l'avoir vue. L'homme me dit qu'il y avait des gens à mon appartement qui cherchait les ingrédients qui auraient servi à l'empoisonner. Je secouais la tête et lui répétais que je n'avais rien fait. La police scientifique n'avait rien trouvé, alors par manque de preuves, ils durent me relâcher, mais ils m'avertissaient que j'allais être surveillée.

Je rentrai chez moi et me lançai littéralement dans mon lit. Je pleurais abondamment la mort de la femme qui m'avait élevée. Mes parents étaient morts noyés lors d'une croisière qui a tourné au drame. Ma tante avait décidé de m'élever comme bon lui semblait et je crois qu'elle a fait du bon travail. Elle ne m'a jamais privé de faire quoi que ce soit et me gâtait quand c'était le temps. Ces dernières années, elle était tombée malade et ses visites à l'hôpital étaient beaucoup plus fréquentes, mais je ne l'avais pas laissée tomber. J'allais avec elle à chaque fois et lorsqu'elle fut hospitalisée, j'allais la voir à chaque jour. Mais le jour de mon arrestation, ce fut légèrement différent. Je savais que c'était sa dernière journée. Elle était devenue maigre, faible, elle avait de la difficulté à parler et à me reconnaître. Le médecin n'était pas très optimiste non plus. Je dis franchement à ma tante qu'elle pouvait partir rejoindre sa soeur et mon père, qu'ils allaient être là pour l'attendre aux portes du paradis. Elle ne semblait plus vraiment présente ce jour-là et se contentait de sourire. Les larmes aux yeux, je lui donnai un baiser sur le front. Ma larme avait laissé sa trace sur sa peau faible et sèche. Cependant, le poison était déjà actif et à travers une corps aussi faible, il s'infiltra facilement et c'est cela qui l'avait tué.

Je me souviens toutes ces fois où j'avais essayé d'embrasser un garçon et quelques minutes après, il tombait malade comme un chien. Était-ce moi le poison? Avais-je tué ma tante? Allais-je tuer d'autres gens de la même façon? Je commençais à transpirer de panique. Je ne voulais pas.. ce n'était pas moi, ce n'était pas de ma faute... Le poison se répandait à travers mon appartement plus que je respirais, plus que je transpirais. On frappait à ma porte. Et si je les tuais eux aussi? Je ne devais pas ouvrir, je ne voulais pas tuer, je devais quitter cet endroit...

Je m'enfuyais alors de mon appartement par la fenêtre qui menait à l'escalier de secours. Je descendais le plus rapidement possible. J'entendais mon nom se prononcer de par ma fenêtre ouverte. Plus vite! Il allait me rattraper! Je l'entendais tousser et se plaindre de l'odeur nauséabonde. Pas le temps d'en savoir plus, je devais sauver ma peau! Je courus à toutes jambes pour me retrouver dans un cul de sac. Je paniquais plus, le poison s'échappait plus. Un jeune homme arriva au bout de la ruelle. Il n'y avait plus de sortie.

«Ne m'approchez pas! Vous allez mourir! Restez où vous êtes!»

Il leva les mains et me demanda de me calmer. Il savait ce que je pouvais faire, mais je devais me contrôler un minimum. Il disait qu'il n'était pas de la police, mais quelqu'un qui venait d'un endroit pour les gens surdoués et qui les recrutait quand il jugeait bon de le faire. Il savait que j'étais sans issue, que la police allait trouver un moyen de me coincer et que je n'allais plus dormir la nuit. Il voulait m'amener dans cette école qui me permettrait de contrôler le poison et où je serais en sécurité. Avais-je vraiment le choix? En tout cas, c'était beaucoup plus attirant comme futur que de me faire pourchasser pour le restant de mes jours. J'hochais la tête en guise de réponse et me calmais du mieux que je pouvais. C'est en route vers cette école qu'il me parla de ce qu'offrait Blackstone.

Son don fait littéralement partie d'elle. Son sang, sa salive, ses larmes, sa sueur et même son souffle peuvent générer du poison. Le poison, pour l'instant, se déclenche lorsqu'elle a un excès d'émotion. Que ce soit la tristesse, la joie, l'excitation ou la colère, le poison s'active et se mélange aux fluides corporels. Contre quelqu'un qui est en pleine forme, le poison lui causera qu'un léger étourdissement. Pour un individu normal, il lui donnera des nausées et des vomissements. Contre quelqu'un de malade ou de faible, il peut jusqu'à perdre conscience et lui donner les autres effets à son réveil. Pour quelqu'un à l'article de la mort, elle mourra, simplement. Contre Lilija, le poison ne fait aucun effet.

Plus tard, elle arrivera à transformer ce poison en acide si elle le désire, mais pour le moment, elle est limitée à générer le poison de façon incontrôlée.

La portée est courte, se faisant par le contact physique de ses fluides, par son inhalation ou en respirant le souffle empoisonné de Lilija.

♣ PSEUDO : Buuhou
♣ AGE : 23 ans
♣ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? : Par Seymour! =D
♣ AS-TU DEJA UN COMPTE SUR LE FORUM ? : Nah!
♣ AVATAR :

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✔Anna Christine Speckhart ❧ Lilija Cebelis